vendredi 25 septembre 2009

Pruneaux électriques

Lundi après-midi, à Alençon, au cours d'une conférence donnée par Christophe Brault sur l'histoire du rock, mes oreilles et mes yeux ont croisé le son des Electric Prunes. Qui ? Cliquez sur toutes les images pour en savoir plus sur eux.


Au chapitre '1966-1968 : psychédélisme' /petit un : 'Etats-Unis' /paragraphe deux : 'Los Angeles', coincé entre les Doors et Love, j'ai écrit très exactement :
- "Underground" album 1967 des Electric Prunes.



Je suis restée un tantinet songeuse à l'écoute de 'I had too much to dream' autre titre, autre album mais intro tout aussi typique, en essayant désespérément de me rappeler pourquoi ce nom éveillait un écho, faible certes mais vivace, dans ma mémoire.



Cette question, aussi coriace que le noyau des pruneaux en question, me trottait dans la tête, où diable les avais-je déjà ouïs ?
Mais bon sang, c'est bien sûr Stanislas, je l'ai !
Si je ne possède aucun des albums des Electric Prunes, j'ai cependant longtemps écouté en voiture la BOF - traduisez bande originale de film et c'était vraiment une bande cassette - du célèbre 'Easy Rider' mythique road-movie de 1969 de et avec Dennis Hopper, Henry Fonda et de superbes choppers.
Aux côtés de Steppenwolf, de Jimi Hendrix (Experience), des Byrds, de Roger McGuinn, sur la piste 8 vous pouvez découvrir un certain 'Kyrie eleison' chanté par les... Electric Prunes.
Il y en a encore qui suivent ?
Un seul bémol à l'enthousiasme de ma découverte, pourquoi les groupes dissous persistent-ils à vouloir se reformer 20 ans après ?




Allez, une petite série d'Electric Prunes pour la route :

Découvrez la playlist electric prunes avec The Electric Prunes


Promis pour le mois prochain, je potasse sur les Small Faces, les Zombies et les Strawberry Alarm Clock...

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